Paracas : l’océan et le désert en face.

L’ambiance de Paracas est très calme et le port apporte à ces habitants du poisson frais, de quoi faire de très bons ceviches.

Mais l’essentiel n’est pas là, mais à quelques pas : la réserve naturelle. Outre les flamands roses et les pélicans qui peuplent abondamment le territoire, l’endroit est magnifique. Ici, les dunes se jettent dans l’océan Pacifique avec classe. Les nombreuses falaises et rochers surplombent des plages rouges et laissent le voyageur de passage admiratif. Il paraît même que l’on peut souvent y apercevoir des dauphins (bon, c’est raté pour cette fois).

Le lendemain, direction les îles Ballestas, anciennes réserves à guano. Aujourd’hui elles ne sont plus exploitées mais les fournisseurs de cet engrais sont toujours bel et bien là. Ces îles sont peuplées, voire surpeuplées, d’oiseaux de différentes sortes. Quelques lions de mer viennent s’y reposer, et les pingouins se plaisent à se balader sur les rochers.

Seul hic, les habitants de ces îles aiment laisser des souvenirs sur les vêtements des visiteurs.

El Candelabro (le chandelier), des oiseaux et des rochers, des pinguoins, plateforme de débarquement, deux lions de mer, la vue des îles en arrivant

Comments

[Matthieu]

Qu'est ce que c'est El Candelabro?

[Baptiste Flandre]

C'est des gens, jadis (genre 13/14/15ème siècle), qui ont dessiné ça sur la colline. On ne sait pas à quoi ça sert, qui l'a fait. Mais c'est là.