Dernière étape de ce périple, Cusco, signifiant le nombril du monde en quechua (Q’osqo), est l’ancienne capitale de l’Empire Inca.
C’est ici que je m’installe.
A Cusco, c’est toujours la fête. Il ne se passe pas un jour sans qu’on entende une fanfare, qu’on voit des processions et des danses. C’est aussi très beau. Entourés de montagnes et de ruines Incas, les monuments du centre historique sont un mélange de l’architecture Inca et de celle des espagnols. Le résultat est intéressant et attire des milliers de touristes chaque jour.
La culture est un élément important de la vie cusquénienne, et notamment la musique. Les lieux publics, les rues, les restaurants, les bars accueillent presque tous les jours des groupes locaux voulant se faire connaître. Et cette ambiance musicale donne naissance à de vrais virtuoses et de vrais chanteurs.
Cusco c’est aussi le point de départ de la vallée sacrée menant au célèbre Machu Picchu. Mais ce dernier n’est que l’arrivée d’une vallée regorgeant de centres d’intérêts. Parmi ceux-ci, Ollantaytambo et les salines de Maras.
Ollantaytambo, alternative plus économique au Machu Picchu, est un ancien temple Inca situé à 1h30 de route de Cusco. Ces terrasses et ses immenses pierres forment un ensemble architecturel impressionnant.
Des marches, des pierres, des portes, des terrasses...
Les salines de Maras, situées à 30 minutes d’Ollantaytambo en direction de Cusco, sont l’œuvre d’une source chaude surgissant au beau milieu de la vallée. En semaine on peut y voir plusieurs familles y travailler et récolter le sel, si loin de la mer. C’est un lieu vite visité mais qui vaut vraiment le coup d’œil.